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Vols Paris – Alger : les prix des billets en juillet
Malgré les critiques sur les réseaux sociaux, les Algériens établis en France affluent en masse sur les billets d’avion vers l’Algérie pour cet été. La demande reste soutenue et les prix très élevés.
Transavia a dévoilé, ce mardi 21 juin, son programme de vols vers l’Algérie pour l’été, après avoir confirmé ses créneaux auprès des autorités concernées en Algérie et en France.
La filiale low cost d’Air France desservira Alger depuis Paris Orly à raison de quatre vols par jour et ouvre une nouvelle ligne vers Tlemcen, à compter du 1er août prochain. Elle continuera à desservir Oran et Constantine au départ de Paris Orly.
Sur la ligne Paris – Alger, Transavia sera en concurrence avec Air Algérie mais aussi sa maison-mère Air France ainsi qu’ASL Airlines, l’autre compagnie aérienne low cost, et à un degré moindre Tassili Airlines qui fait son retour sur cette ligne.
Voyages France – Algérie : forte demande sur la ligne Paris – Alger
Comme on a pu le constater, la demande est très forte sur les vols vers l’Algérie depuis la France notamment sur la ligne Paris – Alger.
La forte demande s’est répercutée sur les prix qui se maintiennent à des niveaux très élevés. Contrairement au mois d’avril, l’augmentation du nombre de vols n’a pas été suivie du lancement de tarifs promotionnels.
Chez Air Algérie, chaque tentative de réservation sur les vols Paris – Alger au mois de juillet donne souvent lieu à l’apparition du message d’erreur qui signifie qu’il n’y a pas beaucoup de places disponibles à la vente.
Chez Transavia, Air France et ASL Airlines, les places sont disponibles à la vente mais à des tarifs exorbitants.
Prix des billets aller-retour Paris – Alger en juillet :
- Air Algérie : à partir de 645 € avec franchise bagage 30 kg
- Transavia : à partir de 734 € sans bagage, 822 € avec bagage
- ASL Airlines : à partir de 866 € avec bagage
- Air France : à partir 639 € sans bagage et 692 € avec bagage
Sans une nouvelle augmentation des vols, voire une reprise totale du programme annuel, il est difficile de faire baisser les prix actuels en raison de la très forte demande.