Voyage Algérie : le conseil de Samir Chaabna

(Image par : Brian Jackson : Adobe Stock)

En pleine période des grands retours de vacances notamment vers la France, certains passagers algériens cherchent des moyens afin de changer leurs dates de retour déjà réservées à l’aller. Est-ce vraiment une bonne idée ?

Après la nette amélioration des conditions sanitaires et la levée des principales restrictions aux voyages, les membres de la diaspora algérienne ont pu, tout au long de l’été, rentrer en Algérie. La saison touche désormais à sa fin et il est temps de plier bagage.  

En cette période des retours des Algériens de France, les vols et les traversées à partir de l’Algérie affichent complet. Au départ, la grande majorité des voyageurs ont réservé des billets de voyage aller – retour, ce qui explique la difficulté de tomber sur une place dans le sens Algérie – France.

Certains voyageurs parmi les membres de la diaspora souhaitent prolonger ou écourter leurs séjours en Algérie, et cherchent à changer leurs dates de retour. Or, cela sonne déjà comme une mauvaise idée au vu de la saturation des réservations dans le sens retour.

Voyage Algérie : changer la date de retour, est-ce une bonne idée ?

Le constat a été fait par l’ancien député de la diaspora, Samir Chaabna. « Je reçois quotidiennement des appels des émigrés qui se trouvent en Algérie, sollicitant mon intervention pour le changement de dates de leurs retours », a-t-il écrit sur sa page Facebook.

À travers son post, Samir Chaabna a tenu à souligner que le changement de date du voyage retour n’est pas une bonne idée, notamment en cette période des grands retours. « Je vous conseille de garder vos dates retour tel qu’elles sont programmées au départ », a préconisé l’intervenant.

Selon lui, les compagnies aériennes et maritimes ne disposent plus de places dans le sens de retour. Ce conseil concerne notamment les familles ayant des enfants concernés par la prochaine rentrée scolaire.

« Toutes les compagnies aériennes algériennes et étrangères, et même les compagnies maritimes, ont annoncé le manque de places à bord, hormis les réservations faites en aller – retour », a encore insisté l’ancien ministre de la diaspora.