Cette spécialité de la street food algérienne est « numéro 1 au monde », selon une touriste française (vidéo)

La Karentika, une recette chaleureuse et pas cher

Fruit du croisement de plusieurs civilisations et de savoir-faire, la street food algérienne harponne les touristes étrangers avec ses saveurs chaleureuses et ses parfums épicés.

Véritable témoin de la richesse historique du pays et de son génie populaire, la street food algérienne est présente dans chaque coin de rue en Algérie, amenant ainsi les visiteurs dans un voyage culinaire regorgeant de délices et de plaisirs.

Comme la street food constitue une véritable expérience culturelle, chaque région d’Algérie se démarque par une spécialité. Si la pizza carrée fait penser instantanément à Alger et ses ruelles animées, la Karentika nous transporte à Oran et son ambiance chaleureuse.

@jymmimarin

♬ son original – Liyes

La Karentika, une recette chaleureuse et pas cher

Arrivée dans la capitale de l’Ouest algérien, Constance, une touriste française, a découvert au passage, outre le fort de Santa Cruz et le Front de mer, les délices cachées de la Karentika.

Dans une vidéo partagée sur TikTok, on la voit se délecter du mythique sandwich Karentika à la Harissa en marchant dans les rues d’Oran. Elle avoue que « c’est un régal », mais elle ne s’arrête pas là.

En effet, selon elle, cette street food algérienne « est le top 1 au monde, et pas seulement en Algérie ». Dans tout le pays, et pas seulement à Oran, elle n’est pas la seule à le penser, car cette recette est adulée par beaucoup de monde.

« Ça y est ! Il faut lui donner la nationalité algérienne du moment où elle a apprécié ça », écrit un internaute en commentaire. Il est par ailleurs à rappeler que Ben N Co, vlogueur également français, est lui aussi tombé sous le charme de ce plat succulent et pas cher.

Le mot Karentika est issu du mot espagnol Calentica, qui veut dire « toute chaude ». Selon la légende, cette recette a été inventée par les soldats espagnols qui avaient broyé le reste de leur réserve de pois chiche au fort Santa-Cruz lors du siège de la ville d’Oran par les Ottomans en 1703.