Un humoriste français se moque des compagnies low cost notamment easyJet

(Image par : Markus Mainka - stock.adobe.com)

Les politiques strictes et exigeantes des compagnies aériennes low cost ne cessent de faire parler d’elle, mais pas du tout en bien. Cette fois, c’est un célèbre humoriste qui s’en est pris à ces transporteurs, en particulier à easyJet.

Pour voyager avec une compagnie low cost, il faut s’armer de patience, mais aussi apprendre à se contenter du minimum requis. En payant pour l’ensemble des services fournis à bord, la facture grimpe rapidement, autant voyager avec une compagnie classique.

Si les compagnies dites low cost proposent certes les vols les moins chers du marché, le tarif basique n’inclut que le siège désigné aléatoirement et un tout petit bagage. Pour le choix d’un siège et un bagage supplémentaire, il faut payer plus.

« Les compagnies aériennes low cost c’est vraiment un univers parallèle »

Et pour avoir d’autres services fournis à bord, comme un espace pour les jambes, les repas, les snacks et les boissons, il faut payer encore plus. Cela dit, les avions de ces transporteurs à bas prix ne désemplissent pas, un paradoxe difficile à expliquer.

Fin juin dernier, l’humoriste français Paul Mirabel, présentant une rubrique quotidienne sur les ondes de France Inter, a abordé ce sujet. Si son objectif était de faire rire, Paul jette un regard critique plutôt provocateur à l’égard des compagnies low cost, en particulier la compagnie britannique easyJet.

Dans son billet intitulé « les compagnies aériennes low cost », l’humoriste a dressé un tableau peu enchanteur de ces compagnies. « Le problème quand tu prends l’avion pour partir en vacances l’été, c’est que parfois, tu n’as pas d’autres choix que de prendre les compagnies aériennes low cost », a-t-il d’emblée souligné.

Après avoir tourné en dérision les services dérisoires de ces transporteurs, de manière hilarante, mais tout à fait réelle, Paul a soutenu que « les compagnies aériennes low cost c’est vraiment un univers parallèle ».

« Tu as droit à un bagage cabine, mais uniquement de la taille d’une clé USB »

En citant l’exemple de la compagnie easyJet, il a lancé que chez cette compagnie, « il n’y a rien d’easy », une réplique décalée ayant pour objectif de démontrer toutes les difficultés que rencontrent les voyageurs en optant pour cette compagnie.

Avec les retards et les annulations de dernière minute, en passant par les règles intransigeantes concernant les bagages, cette compagnie a tout pour déplaire du point de vue du chroniqueur Paul Mirabel.

« Quand tu prends ce type de compagnies, tu dois également mesurer tes bagages, puisque tu as le droit d’avoir un bagage cabine, mais uniquement de la taille d’une clé USB », a-t-il lancé avec ironie. Tous les présents sur le plateau de France Inter ont éclaté de rire sur cette vanne.

Mais si tu enfreins cette restriction, « tu dois payer l’excédent bagage équivalent au PIB du Burkina Faso », a-t-il ajouté sur le même ton sur sa vidéo qui totalise plus d’un million de vues. Une manière de dire combien les amendes sur l’excédent bagage exigées par ces compagnies peuvent parfois être exagérées.

Et pour enfoncer encore plus les compagnies low cot, Paul a terminé son intervention avec une autre vanne, encore plus hilarante : « Une fois, j’ai demandé à l’hôtesse s’il y a quelque chose qui n’est pas payant avec leur compagnie. Elle m’a dit : pour toute question, ça fera 200 € ».

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