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En voyage en Algérie, une touriste française teste un plat traditionnel de Constantine
Un plat algérien à base de semoule, de beurre et de miel / Par hadjanebia / Adobe Stock pour VVA - Visas & Voyages
Parmi les différents types de rfiss algérien, le rfiss constantinois est particulièrement populaire dans l’est algérien. Il s’agit d’un plat sucré que l’on sert généralement lors des occasions festives : mariages, fêtes, célébrations…
Le rfiss constantinois est un somptueux mélange de galette émiettée, de beurre, de miel, de fleur d’oranger et de noix, à consommer avec du lben bien frais.
La blogueuse de voyage française, Claire (FitClaire sur les réseaux sociaux), a eu l’occasion de goûter à ce plat emblématique lors de son odyssée à travers l’Algérie. Découvrez ses impressions.
« Je teste un plat traditionnel de Constantine »
@fitclaire Extrait de la série “25 jours en algérie” de Claire (diffusion complète sur yt -> Claire) #algérie #voyage #repost
Si toutes les régions d’Algérie sont connues pour leurs spécialités culinaires, la ville de Constantine est notamment réputée pour ses mets prestigieux, parmi lesquels figure le rfiss d’aujourd’hui.
Après avoir parcouru plusieurs villes, la voyageuse Claire pose ses valises à Constantine où, pour l’occasion, elle doit goûter à un plat typique de la région.
« Ce soir, je teste un plat traditionnel très populaire à Constantine, c’est le rfiss », déclare Claire, attablée dans un restaurant local. Son rfiss est servi dans un plat en terre cuite, à l’ancienne, et est saupoudré de sucre glace et d’amandes effilées.
La voyageuse explique à sa communauté : « C’est un plat très consistant à base de semoule, de miel, de beurre. Par-dessus, il y a un peu de sucre glace et des amandes ».
Pour Claire, avoir un mets sucré pour plat principal est une grande première. « C’est vraiment une découverte », affirme-t-elle avant de goûter enfin au rfiss. « C’est assez sucré et bien consistant », observe-t-elle, alors qu’elle y revient encore.
Et le lben dans tout ça ? Il est de coutume d’accompagner le rfiss d’un verre de babeurre bien frais, ce dernier venant laver le palais du sucre et, avec son acidité, contrebalancer le gras du rfiss.
La touriste suit donc la tradition et déguste son plat avec du lben, une association qu’elle était loin d’imaginer mais qui semble l’avoir convaincue.
« Je suis contente d’avoir essayé cette expérience à Constantine. Je ne pouvais pas venir dans cette ville et ne pas tester le rfiss. En plus, on m’en a beaucoup parlé et on m’a dit qu’il fallait absolument que j’y goûte ici, à Constantine », conclut-elle.
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